Le Club Des Cinq 2 -Martine I
Je n'ai pas toujours vécu de cette façon, loin s'en faut
. J'ai été sage, fidèle, crédule, naïve et sûrement nunuche
.
En jetant un petit coup d'il en arrière, je m'aperçois que mon histoire à peu être un peu d'intérêt. Alors pourquoi pas vous en faire profiter un peu
. Et puis Gisèle m'a convaincue ainsi que les autres pour nous nous couchions sur le papier
alors !
Le tournant de ma vie survint lorsque je venais juste d'avoir, quarante deux ans. Bel âge ?... sans doute, dans mon cas : vraisemblablement ! Mûre, certes
mais pas trop marquée encore par les ans. Notez bien que ma gym m'aide à garder la forme et des formes avenantes. Je ne suis pas maigre, environ cinquante deux kilos pour un mètre soixante cinq; disons que je suis de celles dont on dit qu'elles sont plantureuses ou bien en chair. Ne vaut-il pas faire plus envie que pitié ? Yeux noisettes cheveux clairs, je suis presque blonde, coté que je ou plutôt mon coiffeur cultive en me blondissant et depuis peu en m'ayant fait adopter des mèches, dégradé ou camaïeu de blond. Voilà vous aurez une idée de moi
ah non c'est vrai
un détail (si l'on peu dire) qui souvent intéresse les hommes
suivant les modèle de lingerie
95 ou 100 D
.
Je suis donc la digne épouse de Thierry de cinq ans mon aîné, de son état Directeur d'une société du secteur agro-alimentaire. Cette condition me permet d'être femme au foyer ou plutôt, disons que cela me permet de ne pas travailler dans le sens ou on l'entend couramment. Cette situation me permet de m'occuper bénévolement comme par exemple en assurant le secrétariat du syndic du lotissement ou par exemple en aidant Rosy une de nos amies à la bibliothèque de quartier.
Voyez le sort m'a plutôt favorisée. Physique et rang social
la vie en a défavorisée plus d'une autre !
De plus j'ai tout pour être épanouie, un mari aimant et attentionné
très aimant et très attentionné
. Nous nous sommes mariés assez tard, j'avais vingt neuf ans.
Lorsque nous fûmes mariés je pus vérifier l'exactitude de cette flatteuse réputation
. Avec lui je connus de vrais et beaux orgasmes. Ayant décelé que je pouvais être une partenaire adéquate il entreprit de faire mon éducation (sexuelle s'entend). Il fut, ma foi, un bon professeur et je pense avoir été bonne élève. Il me faisait très souvent lamour et jaimais ça. Il me dégrossit donc avec diverses des pratiques et positions que nous pratiquions dans toutes les pièces de la maison. . Il m'enseigna à devenir une bonne fellatrice, à le sucer comme il l'entendait et surtout quand il le souhaitait (et c'était souvent). Bien sûr je dus m'habi à l'absorption de sa semence et finalement j'y pris goût et ce fut vite un plaisir de le sentir palpiter sur ma langue et décharger son flot entre mes lèvres resserrées sur membre ou grand ouverte pour qu'il puisse, en plus, bénéficier de la vison de son jet s'écrasant dans ma bouche et aussi mon visage. Bien que nous réservions nos ébats à notre domicile, il lui arriva de solliciter cette caresse en voiture, dans un endroit tranquille en revenant d'une soirée. Il m'apprit aussi à le bien masturber entre mes seins. Evidemment, cette fameuse cravate de notaire était souvent jumelée à une fellation. Patiemment, il finit par m'éduquer à la sodomie. Rebutée au début, je finis par d'abord par lui accorder ce privilège, puis par m'y accoutumer et enfin, il en fut de même que pour la fellation je finis par aimer cela
vraiment beaucoup depuis que Thierry me fit découvrir de somptueuses jouissances anales.
De tout temps mon mari aimait déjà que je sois habillée assez sexy. Au dehors classe mais sexy mais à l'intérieur dans notre intimité il m'aimait en minijupes très courtes, moulantes ou aussi plissées, arborant des chemisiers très ajustés mettant en valeur ma poitrine ou carrément transparents.
Ce qui se passa, c'est je crois ce que beaucoup de femme (enfin celle qui sont un peu délurée comme Thierry m'avais transformée) ont rencontré, la surenchère masculine. Loin de refuser ses petits caprices, il ne se contenta pas du façonnage qu'il avait réalisé. D'abord, il voulait que je masturbe devant lui. Je ne sais pas pourquoi, mais j'étais réticente. Peut être considérai-je (à tort à l'époque) que cette activé demeurait intime
et puis je préférais, quand il était là, ses mains sur moi que les miennes. La masturbation était pour moi un substitut lors des moments de solitude lorsque cela me démangeait trop. Il en fut de même lors qu'il me demanda de proférer des grossièretés et autres mots crus. Sans doute, les réminiscences de mon éducation m'empêchèrent de satisfaire complètement sa requête.
De plus, commencèrent à lui venir des envies singulières que je découvris avec surprise et effarement.
Un jour que je lui jetais à la figure :
"Si je t'écoutais, il faudrait que je me promène nue devant tout le monde !"
Quelle ne fut pas ma surprise que l'entendre répondre par l'affirmative en précisant qu'un de ses fantasmes serait de m'exhiber devant des inconnus.
Quelle sottise !
Devant mon courroux il n'insista plus
presque plus
et puis
.
Petit à petit il revint à la charge en me faisant visionner des films X pour que japprenne à ressembler aux "héroïnes". De plus il s'ingénia à me faire pratiquer la double pénétration, lui me pénétrant et un godemiché bien enfoncé dans lorifice quil avait laissé vacant selon son choix.
Sans accéder à ses demandes "extérieures", j'accédais au reste et me prit à supporter, tolérer, admettre voire prendre goût à toute cette pornographie. Je devins bientôt l'actrice préférée de mon acteur, metteur en scène, amant, époux de mari et lui seul.
Pourtant, un soir où notre étreinte fut particulièrement chaude et intense, il lâcha qu'il aimerait me voir faire l'amour avec un autre homme en sa présence et que lui et l'hypothétique autre pourraient me prendre de concert. Je m'esclaffais devant l'incongruité de la demande. Même s'il m'était arrivé d'être légèrement courtisée parfois, je n'avais jamais songé à le tromper.
Il insista
un peu
beaucoup
passionnément
.
J'étais presque décidée, de guerre lasse, à quelques concessions lorsque nous partîmes en vacances. Ces vacances allaient bouleverser ma vie.
Exclusivement pendant les vacances, je cédais sur l'absence de slip et soutien-gorge
. Juste le mini bas de maillot de bain (évidement toujours trop enveloppant) pour la piscine et la plage. Je cédais aussi sur les exigences vestimentaire pour le soir et j'ai du passer aux yeux de beaucoup de gens pour (a minimum) une allumeuse. D'autant que Thierry ne manquait pas de me faire remarquer les regards lubriques de certains hommes à mon encontre.
Thierry essaya bien de m'emmener au sauna de l'hôtel. Pas née de la dernière pluie je refusais. Par contre sur une petite plage déserte je m'abandonnais à ses caresses. Malgré ses demandes je ne quittais pas mon maillot même lorsqu'il argumentait en disant que cela lui serait plus pratique pour me faire jouir. Sur cette plage, je lui fis aussi quelques fellations.
Un beau jour alors qu'il avait la main dans mon slip et que penché sur moi il m'embrassait tendrement, il me prévint que nous étions observé par des voyeurs. Je voulus qu'il cesse immédiatement ses attouchements. Il arriva à me convaincre de rien en faire. Sans doute alangui par le soleil je cessai le combat
. Que se passa-t-il ?... les voyeurs s'enhardirent-ils ?... Thierry leur fit-il signe ? Toujours est-il que deux jeunes garçons s'approchèrent, l'un tout prêt et l'autre un peu moins. Je fis confiance à Thierry qui me dit :
"Laisses-toi faire ! Tu ne risques rien ! Laisses les regarder, tu vas voir comme tu vas jouir !"
Je laissais Thierry continuer ses caresses en fermant les yeux. Entre mes paupières je finis pas voir que les deux garçons avaient sortis leurs sexes et se caressaient en regardant faire mon mari. Le plus proche le faisait avec ostentation comme s'il voulait faire passer un message.
Thierry le comprit et me demanda :
"Vas-y caresses-le !"
Soleil
abandon
inconscience
je tendis la main et me saisis de la jeune verge. C'est ainsi que deux personnes jouirent
. Moi sous les doigts de mon mari et le garçon dans ma main caressante. L'autre avait éjaculé tout seul comme un grand. Thierry voulu tout de suite me pénétrer là, sur la plage, devant les adolescents. Il réussit presque à me faire craquer mais dans un sursaut de pudeur je me repris. Par contre dès le retour dans notre chambre, la manière dont il me sodomisa me fit évaluer l' excitation qu'il avait ressentie. Mon orgasme le renseigna parallèlement sur mon propre émoi et le trouble que j'avais ressenti. Ayant tout bien noté et baratineur comme pas un il me fit presque accepter de céder à un bellâtre qui outre me coller impunément, m'avait peloté en dansant au club de l'hôtel.
Le siège constant que mon mari faisait de moi portait ses fruits. La citadelle allait se rende et capituler
.
Lassée de résister un soir, peu après notre retour, je me rendis à l'idée de tenter une fois l'expérience
. Après tout
.
La joie de Thierry
difficile à décrire
la fougue qui en suivit
aussi, sinon qu'elle fut impétueuse
et fatigante
.
Restait un détail
: qui ?
Inconnu ? Certainement pas !... Ami ? Pas davantage
Alors ?
Thierry eut cette idée
. Dans le lotissement (assez bourgeois) ou nous habitions nous avions sympathisé avec quelques couples. Quelques réceptions, chez les uns, chez les autres
et ce petit cercle s'était un peu étoffé. Parmi celui-ci, il y avait Jacky, célibataire
ce fut lui que Thierry choisit. Je fus très réticente. Ne l'aurais-je pas été vis-à-vis de n'importe qui ? Je le pense ! Quelque chose me dérangeais chez lui. Une façon de regarder les femmes comme si, il les déshabillait des yeux. Bien évidemment je n'étais pas épargnée. Il y avait même eu un ou deux fois ou je m'étais sentie rougir sous le regard insistant posé sur mes seins. Bref, je le sentais très "branché", peut être même un peu cochon. De toutes les façons, il fallait bien un homme qui soit à la hauteur de Thierry
donc pourquoi pas lui
puisque j'avais cédé
.
C'est ce choix qui fut cause de tout, choix que Thierry regrettait certainement et moi
non.
"Mais
crois-tu que je lui plait ? Es-tu sûr qu'il est d'accord pour ce genre de chose ? Avec un autre couple
."
Thierry promis de ce renseigner
subtilement.
Deux jours plus tard (il n'avait pas tardé) il revint triomphant.
"Tu sais qui j'ai vu ? Jacky ! Nous avons un peu parlé
de toi. Il trouve que tu es une très jolie femme. Tu lui plait beaucoup, même énormément. A priori cela ne le choque pas d'entrer dans l'intimité d'un couple. Il est d'accord
."
"Tu
tu es certain ? Tu veux vraiment que je fasse l'amour avec lui devant toi ? Tu ne me reprocheras rien par la suite ? Et puis as-tu vraiment confiance en lui ? Saura-t-il être discret
après ?"
Thierry balaya inévitablement toutes mes objections. Comment, dès lors allions procéder ?
Mon époux avait réponse à tout. Son scénario était au point. Nous allions inviter quelques amis, plus Jacky, ment
. Il lui ferait comprendre que c'était le moment et à la fin du repas, il le retiendrait
.
Invitation fut lancée auprès de nos voisins, de ma copine Rosy et son mari, un autre couple et
Jacky.
En attendant l'arrivée de nos convives j'étais angoissée comme pas possible. Je peux même dire terrorisée. Thierry me rassura, un peu. J'avais pour la circonstance, et sur la demande de mon mari, revêtue une robe un peu osée
juste un peu. Elle me découvrait totalement les épaules, si l'on excepte de toute petites bretelles. Le décolleté, sans être, outrancier, laissait voir la naissance de ma gorge. Un petit slip de dentelle, une paire de bas autofixant et escarpins (sans talon excessif) complétaient la tenue choisie par Thierry. Coiffée, légèrement maquillée je fais très maîtresse de maison BCBG mais sexy quand même.
Les invité arrivèrent
convenances
cordialité
je me sentis rougir à l'arrivée de Jacky et c'est un peu confuse que je le saluais et lui fit la bise. Hasard ?... sûrement pas !... il me sembla qu'il m'embrassa beaucoup plus près de la commissure des lèvres que d'habitude. Tripes nouées je tentais de me soustraire à son regard pendant tout l'apéritif et le début du repas. Placé en face de moi, il parvint quand même à accrocher mon regard. Une lueur caressante éclaira ses yeux. Savait-il à ce moment ? Je pense que oui, car je les avais vus causer légèrement en aparté avec Thierry. Brutalement je me sentis toute drôle. Un de mes hôtes, tout à l'heure avait peut être été invité à honorer son épouse par un mari en quête d'expérience érotique
.
J'avoue que je perdais un peu les pédales. A un moment, j'allais à la cuisine surveiller un plat et me reprendre. Thierry me rejoignit, soi-disant pour m'apporter de l'aide. Au lieu de cela il se colla derrière moi saisit mes seins à pleines mains. Je sentis son érection contre mes reins. En continuant de me pétrir les seins il me dit:
"Je lui ai demandé, Jacky restera ce soir pour baiser avec nous,"
"Tu
tu lui as déjà demandé?"
""Oui, à l'apéro
il a accepté tout de suite, je dirais même qu'il ne c'est pas fait prier du tout. Allez, maintenant fait moi plaisir, allumes-le un peu, tu vas le faire bander. Et puis retire ton slip, je lui ai dit que tu allais le faire !"
Eperdue je relevais ma robe et mécaniquement retira mon joli slip de dentelle noir. Ce dernier fut raflé par Thierry qui me prévint :
"Je vais lui donner !"
Je retourne à la salle à manger, mon esprit troublé encore plus,j écoutais désormais les conversations d une oreille distraite. A la dérobée je regardais Jacky et essayais de l'imaginer nu. A vrais dire j'essayais aussi de deviner son sexe. J'appréhendais un peu le moment d'être au pied du mur.. Sans que je ne puisse me je sentis peu à peu mon sexe commencer à mouiller et mes grandes lèvres se gonfler. Je baissais les yeux. En relevant la tête, je croisais le regard de Jacky. Une lueur franchement lubrique me fut dédiée. Je perçu qu'il savait que je savais. Un regard à Thierry me confirma l'accord général. Irrésistiblement mes seins durcissent. Pendant le reste du repas, décontractée par le vin que j'avais bu, je devins plus détendue. Jacky ne cessa de me regarder, et nos regards se croisaient de manières de plus en plus gênantes. Me souvenant de la demande de Thierry, mine de rien, je fis glisser une bretelle de ma robe. Je restais quelques instant ainsi révélant le haut d'un sein. Fixant Jacky d'un oeil langoureux je remis la bretelle en place. Je vis qu'il avait bien compris le message plein de promesses que je venais de lui adresser.
Thierry s'arrangea assez habilement pour que la soirée ne s'éternise pas. Nos invités repartirent. Devant tout le monde Thierry retint quelques instant Jacky pour un problème informatique inventé de toute pièce. Je filais à la salle de bain arranger ma coiffure et me maquiller, puis preant mon courage à deux mains, je retournais vers le salon.
Le moment de vérité était arrivé.
Les deux hommes étaient assis tous les deux sur le canapé laissant une place entre eux et sui visiblement m'était destinée. De sa main posée dans cette espace, Thierry m'invita à prendre place. En m'approchant, je remarquais que Jacky avait une étoffé en main
mon dieu
c'était mon slip ! Je m installais entre eux, et sans attendre, Jacky passa un bras autour de mes épaules et se pencha vers moi pour m'embrasser. Si je m'étais attendue à un premier baiser un peu soft, j'aurais été déçue car tout de suite Jacky m embrassa voracement, sa langue emplissant ma bouche. Un peu décontenancée de prime abord; je me mis à l'unisson. Nullement en reste, Thierry baissa une des bretelles de ma robe et sortit un sein de celle-ci. Quand Jacky abandonna temporairement mes lèvres, ce fut mon mari qui s'en empara. Jacky fit la même chose que Thierry et commença à me pétrir un sein lui aussi. Je trouvais cela très excitant de me faire peloter par deux hommes différent et agissant différemment. Chacun d'eux avait ses caresses, sa manière de m'étirer les tétons. Je m'abandonnais à leurs mains et leurs bouches car ils se mirent aussi à me sucer les seins.
Avec un accord trop parfait pour ne pas être de connivence, les deux hommes posèrent une main sur le haut de mon genou. Caressante les deux mains remontèrent chacune sur sa cuisse respective. Thierry me prit la main et la posa sur sa braguette. Il prit aussi l'autre et la dirigea vers l'entrejambe de Jacky. Dès ce moment, ce que je sentis me parut imposant. Il fut un moment ou ma robe les empêcha de progresser vers le haut. Ce fut Jacky qui autoritairement me demanda de me soulever pour pouvoir remonter ma robe. Le tissu fut repoussé sous moi et juste avant que les mains ne reprennent leur progression les deux hommes ouvrirent leur pantalon. Je vis à peine, le temps de changer de bouche, le membre de Jacky, mais je le sentis dans ma main. Il me parut énorme. Enorme, je ne sais pas mais en tout cas bien plus volumineux que celui de Thierry qui m'avait toujours parut de taille normale et dont je m'étais fort bien accommodée jusqu'à présent.
Les mains étaient maintenant sur les renforts de mes bas. Sous peu leurs doigts allaient atteindre ma peau nue. Thierry me souffla :
"Ecartes les cuisses, Chérie, que Jacky puisse constater combien tu mouilles !"
Nanti de cette permission tacite, la main de Jacky fila jusqu'à mon pubis épilé un doigt glissa lentement le long de ma fente. Thierry en profita pour me relever ma robe jusqu'au nombril. Pour rien au monde il n'aurait voulu manquer le spectacle
. En remontant le doigt de Jacky s'inséra entre mes lèvres. Je ne pus retenir un gémissement étranglé. Le doigt s'inséra lentement dans mon vagin et y progressa.
"Dis donc mon vieux, Martine à l'air drôlement chaude !"
"Attends, tu n'as rien vu !"
"Tant mieux ! Et toi ma belle, continues à nous branler !.
C'était de moi que l'on parlait, c'était à moi que l'on c'était adressé. Moi qui avais un sexe dans chaque main
moi, dont le mari avait dénudé le ventre pour voir les doigts de son futur amant prendre possession de sa femme
moi, encore, dont les seins étaient devenus des jouets entre les doigts de mon époux
moi, dont le vagin était ouvert par deux doigts très actifs
.
Jacky rompit le charme :
"Si on la mettait à poil !"
"Bonne idée !"
Je fus mise debout entre les deux hommes qui achevèrent de me dépouiller de ma robe ma laissant désormais nue à l'exception de mes bas dont je devinais qu'ils n'allaient pas me priver. Je fus longuement caressée par tous les deux. Seins
hanches
dos
ventre
fesses
entrejambe
tout y passa. Il me firent pivoter entre eux plusieurs fois pour bien profiter de mon corps et j'ondulais sous leur caresses. Je crus à un moment défaillir quand Jacky m'empoigna les seins à pleines mains et se mit à me sucer les tétons tandis que Thierry, connaissant la sensibilité de cet endroit, me titillait l'anus.
"Suce Jacky !" demanda soudain mon mari.
Jacky acheva de retirer ses vêtements et se ré assis. Obéissant à mon cher et tendre, je m'agenouillais entre les jambes de Jacky et me saisit de ce membre imposant. Par la suite j'aurais l'occasion de mesurer vingt trois centimètre de long pour un peu plus de six de diamètre. Il bandait bien. Après avoir délicatement léché le gland et son méat, je le pris dans ma bouche et le suce lentement. J'en avais plein la bouche que j'ouvrais en grand pour l'engloutir. Je remontais et redescendis plusieurs fois, visiblement il aima ma manière de faire.
"Vas-y prends-la en même temps !" conseilla Jacky à mon mari
.
Thierry finit vite de se mettre nu lui aussi et vint se place derrière moi. Il me fit me reculer un peu. Je pris appui de mes avant-bras sur les cuisses de Jacky, prenant bien soin de garder mes mains libres puis ouvrant bien les cuisses, je me cambrais pour bien me donner à mon mari. Vu l'état où je me trouvais il m'enfila d'un seul coup. Il ne put s'empêcher une remarque superflue (comme à son habitude) :
"Eh bien ! Tu es sacrément mouillée ! Jacky te fait de l'effet on dirait !"
Me prenant par les hanches, juste au-dessus de mon porte-jarretelles il se mit à me posséder fébrilement m'imprimant un rythme soutenu auquel j'associais celui de ma fellation. J'éprouvais une sensation folle de sucer un homme pendant que mon mari me faisait l'amour. Je n'étais pas au bout de mes découvertes
. Même en regardant des film porno, je ne me rendais pas compte
. Et puis
Jacky proposa à Thierry :
"On peut changer ? Je baiserai bien Martine !"
Pour être franche j'espérais cela. Depuis que j'avais découvert ce gros sexe, je dois à la vérité d'avouer que j'avais envie de sentir cette chose dans mon ventre. Pour plus de commodité, les hommes me placèrent en levrette au bord du canapé. Jacky se plaça en position. Rien que de sentir son gland brûlant contre ma fente, j'en tremblais presque. Doucement, lentement, il me pénétra
en douceur
sans brutalité
mais à fond
. Je n'en revenais de l'impression que je ressentais. J'avais l'impression de me faire remplir. Je ne pus retenir un gémissement quand il ressortit entièrement et revint à la charge, cette fois-ci plus radicalement. Je ne pus en retenir un autre plus fort quand il recommença encore plus radicalement. Se sentant bien accueilli, il se mit à aller et venir régulièrement. Thierry vint se poster face à moi et me présenta son sexe à sucer. Comme je prenais appuis sur mes mains, je dus donc le sucer sans l'aide de celle-ci. Pour ne pas perdre "le contact" Thierry avait passé la main dans mes cheveux et me tenait ma tête obligée, donc, de suivre les mouvements initiés par Jacky. Les mouvements de Jacky faisaient monter la chaleur au creux de mes reins, c'était le signe annonciateur de mon plaisir que je savourais et pris sans honte bien qu'il ne me fut pas offert par mon mari mais par un autre. Thierry ne put se retenir devant la vision de mon orgasme et jouit dans ma bouche. Je fus un peu surprise quand j'entendis Jacky demander la permission de se "finir", lui aussi, entre mes lèvres. Ce consentement lui ayant été accordé par Thierry, je m'assis sur le canapé et me remis à sucer voracement sans honte ce beau membre qui m'avait donné tant de plaisir. Il ne me fallut pas bien longtemps pour sentir ces belles boules remonter et le vit, au paroxysme de sa raideur, frémir. Un flot, je dis bien un flot, tant je fus surprise par l'abondance des jets de sperme, m'envahis la bouche. J'avalais vite pour ne pas en perdre une goutte. Jacky apprécia et félicita :
"Mon vieux ! Ta femme suce bien ! Tu ne dois pas t'ennuyer ! Tu doit passer ton temps avec ta queue dans sa bouche
"
Je trouvais quand même le commentaire un peu grossier pour une première fois.
Nous trinquâmes au plaisir que nous nous étions donné puis petit à petit les hommes se remirent à m'embrasser et à me caresser (surtout Jacky). Je pressentais des velléités de remise de couvert. Effectivement, au bout d'un moment je me retrouvais avec encore une fois avec un sexe dans chaque main. Me penchant alternativement d'un coté puis de l'autre, je me mis en devoir de parachever ces érections. En même temps, je branlais l'autre. Pendant au moins 15 minutes, je suçais alternativement mes deux males en rut en caressant leurs bourses. Je les jugeais vite vraiment à point. Mon sexe suintait
. Je me mis sur le coté et Jacky me prit la chatte par derrière, me remplissant bien de nouveau. Thierry se mit assis de façon à ce que je puisse le sucer. La verge de Jacky allait et venait facilement dans ce fourreau chaud et humide, mes seins étaient prisonniers des mains de mon amant qui les manipulait en cadence, au rythme de sa pénétration.
Au bout d'un moment mon mari fut pris d'une idée apparemment subite. Je fut persuadée (il me le confirma par la suite) qu'elle était bien préméditée. Il déclara à Jacky :
"Attend ! J'ai une idée ! On va la prendre à deux ! Elle aime ça quand je lui fait avec un gode, ça va être une grande première pour elle !"
Je sursautais un peu affolée :
"Tu es sûr que
."
"Évidemment ! Tu vas voir comme tu vas prendre ton pied !"
"C'est vrai ! Tu va jouir comme jamais ! Comme toute celles qui y passent !" renchérit Jacky.
L'affaire était entendue et la posture s'arrangea. Jacky se mit assit. Il fut convenu que je le chevaucherais et que Thierry me sodomiserait ensuite. Je me mis donc à genoux de part et d'autre de Jacky qui plaça sa verge à l'entrée ma grotte. Lentement je m'abaissais sur son gros sexe. Il me tenait par la taille pour m'assister dans mon empalement. Lorsque ce fut fait et j'eus pris mes aises en effectuant quelques montées et descentes, il m'attira à lui pour m'embrasser gloutonnement à pleine bouche, pleine langue et plaine salive. Pesant sur mes reins pour me faire bien cambrer Thierry se mit ensuite à m'écarter les globes fessiers et à courtiser ma rosette. Sous l'effet de ses doigts et de sa salive elle se montra docile et malgré mes craintes elle parut prête à être comblée par la virilité de mon époux. En (visiblement) habitué, Jacky, au moment où il vit Thierry se mettre en position, me prit une fesse dans chaque main et les ouvrit afin d'exposer ma raie et mon illet frémissant et ouvert par soins de Thierry. Les seins écrasés sur le buste de Jacky, ma tête dans son cou, je sentis la seconde verge se positionner contre l'ouverture de mes reins. Elle pesa sur l'orifice et le gland s'engagea. Thierry dut s'y reprendre à plusieurs reprises pour trouver le bon angle de pénétration. Quand ce fut fait, il continua lentement sa progression. La sensation était bizarre différente de la sodomie habituelle comme si mon conduit n'était non pas plus serré ni étroit, mais plutôt comme s'il avait diminué de diamètre. La pénétration fut donc plus difficile mais en même temps avec une sensation inhabituelle et inédite : le sexe de Thierry se glissa contre quelque chose de dur de l'autre conté de la parois. Comme il le faisait souvent mon époux ressortit puis me ré enfila. Cette fois je sentis bien son pubis poilu contre moi. Les hommes ne firent plus aucun mouvement pendant un temps, histoire, je le suppose de me laisser m'habi à cette double présence. Puis Jacky lâcha mes fesses et ses mains remontèrent le long mes hanches, ma taille
. L'une me prit un sein et l'autre vint fourrager dans mes cheveux. Les doigts accrochés à ma chevelure il guida ma tête pour qu'à nouveau il puisse m'embrasser fiévreusement. Répondant farouchement à ce baiser, je me mis instinctivement à faire bouger mon bassin. Mes hommes prirent cela pour une invite et se mirent en mouvement. L'expérience de Jacky fit encore merveille et ils ne mirent pas longtemps à s'accorder. A partir de ce moment là ce fut
divin
tout simplement divin. De telles sensations, je n'en avais jamais ressenti. Me sentir comprimée ainsi entre les deux hommes, sentir leurs deux corps, leurs deux souffles haletants, leurs deux bouches sur moi, leurs quatre mains et surtout, leurs deux virilités dressées à l'intérieur de mon corps, me faisait découvrir de nouveaux horizons sexuels. Leur double mouvement alternatif de piston, le doux glissement des deux sexes contre cette étroite membrane me procuraient des sensations inconnues et fabuleuses. Je m'offrais autant que je pus pour mieux en profiter encore. J'offrais sans restriction mon vagin ruisselant à Jacky ainsi que mon anus dilaté à Thierry. Je me donnais entièrement aux bouches qui prenaient la mienne et aux mains qui tour à tours me manipulaient rudement les seins. La jouissance vint brutalement comme un raz de marée n'en finissant plus. J'émis un long râle de plaisir qui combla les deux hommes et les fit redoubler d'ardeur jusqu'à ce que, Thierry d'abord au fond de rectum, puis Jacky ancré au coeur de mon sexe se vident de leur semence essoufflé d'impétuosité. Nous demeurâmes dans la même position un moment en sueur tous les trois et reprenant lentement notre souffle. Lorsque s'amorça la détumescence, ils se retirent lentement de leur fourreau respectif.
Quand nous eûmes reprit nos esprits Jacky annonça son départ non sans avoir remercié Thierry de sa générosité et moi de mon "accueil". Épuisée je tombais comme une masse.
Lorsque je me réveillais Thierry était déjà parti travailler. Doucement je me mis à me remémorer la soirée précédente. Je ne pus m'empêcher de ma caresser en la revivant
. Finalement, je perçu que ce plaisir devait de toute évidence se comparer à une drogue. Il fallait couper court immédiatement de peur de tomber dans la récidive, l'addiction et l'excès.
Peu convaincue et un peu timidement, pour dire vrai, j'annonçais à Thierry dès son retour, mon intention de ne pas renouveler ce genre de séance.
"Ca tombe vraiment mal !" me répondit-il et il continua "Figures-toi Martine que Jacky m'appelé aujourd'hui ! D'abord pour me remercier de l'excellente soirée qu'il a passé avec nous et puis pour nous inviter chez lui samedi prochain
J'ai accepté !"
Incontestablement mes intentions étaient à l'opposé de tout le monde. Je tentais, en pure perte incontestablement, de le dissuader de cette future soirée. Honnêtement je ne fus pas extraordinairement ni ferme, ni convaincante et finis par baisser pavillon devant l'insistance de Thierry. Quelle satisfaction de faire semblant de céder alors que (presque) tout est acquit par avance
.
Comme on peut le penser mon mari fur radieux de mon acceptation et me le prouva dès que nous fûmes au lit. Il me fit même avouer (sans trop forcer) que j'avait bien aimé le gros sexe de Jacky. Puis encore que la perspective de le sucer et "d'y passer" de nouveau me ne déplaisait pas. Conscient de mes bonnes dispositions, en définitive, il me prévint :
"E t puis, ce n'est pas tout, nous te reprendrons encore en double
et cette fois c'est lui qui te prendra par derrière !"
"Mais tu es complètement fou mon pauvre ! Tu as vu la taille de son engin ! Il va m'esquinter ! Il n'en est pas question !"
"Mais si, mais si ! Tu verras
je lui en ai parlé, il n'y aura pas de problème
. Il est réjoui de l'idée et a accepté tout de suite !"
Tu parles
déjà se faire offrir la femme d'un ami
ce n'était pas mal
mais en plus, quand le mari complaisant faisait cadeau du plus intime des orifices de son épouse
l'idée avait de quoi charmer
.
En attendant qui était inquiète : moi ! J'allais me faire démolir le fondement, mais en même temps
. Il ne serait faux de dire que je n'y avais pas songé un peu. Peur et tentation se réunissaient. Je l'avais eu dans la bouche, il m'avait bien bâillonnée. Il m'avait prise, et là j'avais eu l'impression d'être emplie. Et là l'idée de
je me demandais si
comment
. Mes interrogations allèrent crescendo passant d'inquiétude à la curiosité et de celle-ci à l'envie (ou presque). J'aimais bien (et j'aime toujours) me faire prendre de cette façon, c'est la faute de (ou grâce à) mon mari. Le hic c'était la taille
.
Ce fameux samedi vint et en fin d'après midi je me fis belle. Thierry me "conseilla" le porte-jarretelles et les bas noir
enfin il l'ordonna plutôt
. En sortant dans cette tenue de la salle de bain, je lui demandais quelle tenue il souhaitait me voir porter. Sa réponse fut claire :
"Mais
rien du tout ma chérie ! Reste comme cela sous ton manteau ! Et puis maquilles-toi un peu plus, tu fais assez banale !
Banale !... le mot qui fâcha
en porte-jarretelles, prête à se faire sodomiser par son amant sous yeux de son mari, déjà pas mal maquillée (plus c'était limite mauvais genre
) et tout ça pour entendre
Banale!
Il faillit y avoir scène de ménage et je me (et lui) promis bien de profiter pleinement de cette soirée puisque c'était ainsi. Quand à être nue sous le manteau, c'était un "non" définitif. J'admettais que l'on pense de moi, que pour faire plaisir à mon mari (et à moi également), j'avais la cuisse légère, mais je ne voulais pas (à tort ou à raison) passer pour une pute !
La transaction vestimentaire fut la suivante, je porterai un tailleur, celui me sert pour les cérémonies (
), noir avec une veste courte ajustée, avec uniquement un soutien gorge (noir évidemment et à balconnet évidemment aussi). Vu l'entrebâillement j'avais quand même le tiers des seins en évidence. Thierry avait cédé pour le soutien gorge, je cédais pour le slip ou plutôt son absence
le porte-jarretelles était déjà acquis
. Inutile de préciser que j'étais fébrile pour le court trajet entre les deux maisons
.
Jacky nous ouvrit dès que la sonnette eue retentit. Il me débarrassa de mon manteau et eu l'air surprit. Il lança un regard interrogateur à Thierry qui crut bon de justifier.
"Martine n'as pas voulus venir sans rien dessous
J'ai à mal fou à ce qu'elle accepte de s'exhiber !"
S'il fut déçu Jacky n'en fit trop rien paraître et rétorqua :
"Qu'à cela ne tienne nous aurons ainsi le plaisir de la voir se déshabiller !"
Nous passâmes dans son salon. Comme il ne me proposait pas de m'asseoir je regardais autour de moi d'un il explorateur. En souriant irrésistiblement il me dit :
"Je crois qu'il est temps pour toi, chère Martine de te mettre en tenue
. Nous allons avec Thierry profiter du spectacle !"
Ils s'assirent tous les deux me laissant un peu éberluée au milieu du salon. Je n'étais pas un stripteaseuse professionnelle, mais je mis beaucoup de sensualité à ôter ma veste et leur tournais le dos pour qu'ils voient mes doigts dégrafer mon soutien gorge. Puis toujours dos tourné, je fis descendre la fermeture éclair de ma jupe revenant petit à petit mon sillon fessier. La jupe finit autour de mes chevilles, je l'enjambais. J'allais me retourner quand Jacky me fit stopper. Il me demanda de me pencher légèrement en avant et de me cambrer pour mettre mon postérieur bien en évidence. D'une voix plus rauque il me demanda ensuite d'écarter mes fesses à deux mains. Le commentaire fut laconique mais révélateur de ses intentions.
"J'ai un point de vue magnifique ! Mon cher Thierry, ta femme à cul superbe !
Thierry mis un point d'orgue à rajouter un commentaire d'une grande finesse.
"Et
tu n'as pas tout vu ! Attends d'être à l'intérieur !"
Négligeant la boutade (j'allais dire la saillie) Jacky me pria de me retourner. Je devais être écarlate de ce préliminaire. Je le vis consulter sa montre et déclarer :
"Bon, je crois qu'il va être l'heure !"
Qui ?
Quoi ?
quelle heure ? Me renseignais-je muettement.
Il se leva et tranquillement déboutonna son jean sous lequel il était nu.
"Mais ma chère
de la pipe
. A genoux !"
Muette de saisissement du ton de commandement qu'il venait d'employer je m'exécutais et me mis à genoux. Il fut devant moi son membre en semi érection. Je m'en saisis. En quelque seconde il fut bien raide. Je l'embouchais. En quelques secondes aussi je n'eus plus de rouge à lèvres. Dieu que c'était bon de sucer ! De nouveau je l'avais dans la bouche. Je m'ingéniais à lui donner le plus de plaisir des lèvres, des joues et de la langue. Il invita Thierry à nous rejoindre :
"Viens mon vieux te faire sucer aussi ! C'est quand même ta femme après tout !"
Quand même
.
Un dard dans chaque main, ma bouche passa de l'un à l'autre pendant un bon moment. Enfin jusqu'à ce que Jacky veuille me "baiser". Il me fit placer au bord d'un fauteuil et s'étant agenouillé devant moi m'attira à lui. Mon sexe était tout gonflé et trempé d'envie. Je geignis de félicité quand je le sentis s'enfoncer loin, loin, très loin
. Il se mit vite en action à ma grande satisfaction. S'approchant du bras du fauteuil où reposait ma tête Thierry me présenta son dard pour que je le pompe. Je souscrivis volontiers à sa requête. J'eus vite un premier orgasme qui fit commenter mon époux sur mon envie pressante de sexe. Ils changèrent ensuite de place et j'engloutis la tige de Jacky toute luisante de mon précédent plaisir. J'eus un deuxième orgasme offert par Thierry et en même temps lui aussi jouit en râlant. Jacky qui s'était retenu quelques instant pour que je m'applique de nouveau sur sa virilité se vida enfin entre mes lèvres du même flot que la première fois. Vraiment son éjaculation était réellement abondante.
Champagne et petit temps de récupération
.
Ce fut Thierry, décidemment impatient, qui demanda :
"Alors ? On la prend en double ? On fait comme on a dit ?"
Jacky ne tergiversa pas
immanquablement. Mais il décida :
"Je vais tout d'abord tester ce beau petit cul ! Tu me rejoindras après !"
Il me demanda de me mette en levrette sur le canapé. J'entendis :
"Détends toi ma belle !" Deux mains écartèrent mes fesses
"Quelle jolie rondelle !" Un bouche se posa sur ma corolle, une langue la titilla, s'y glissa. Un pouce et un index maintirent l'écartement un doigt mouillé de salive entra une phalange, deux, puis un peu plus encore.
"Dis donc elle est bien souple ! Tu dois y passer souvent !"
Se fut Thierry qui répondit que j'étais friande. Il ne mentait pas
pas trop. Lui s'était assis devant moi et pendant que Jacky amadouait mon petit pertuis, passant la main sous moi il me caressait l'entrejambe ou les seins. Quand un deuxième doigt vint faire son entrée, il m'appuya sur la nuque pour que je suce à nouveau. Je ne pus décemment refuser
. Les deux doigts étiraient les parois de mon anus jusqu'à ce qu'il fût suffisamment dilaté pour qu'un troisième doigt vienne rejoindre les deux autres. Jacky renseigna :
"Voilà ! Elle a trois doigts dans le cul ! C'est bon je vais pouvoir y aller !
Les doigts se retirèrent pour laisser place à quelque chose de chaud et cylindrique. La tête parvint à passer sans trop de mal. Il força quand même un peu. Restait la suite
ce qui fit dire à Thierry, qui n'en perdait pas une miette, comme pour mieux me prévenir mais sans me tranquiliser.
"Tu vas la sentir passer !"
Effectivement
il y avait belle lurette que le muscle en principe destiné à clore l'endroit avait lâché mais il me fallait endurer l'intromission complète du phallus maintenant
. J'avoue que ce ne fut pas sans mal. J'avais l'impression qu'il me dépliait douloureusement les intestins bien qu'ayant passé ses deux mais sous moi Thierry me vrillait les tétons (caresse qui en principe me fait monter aux rideaux). J'avais vraiment l'impression de l'avoir entre les reins. Enfin je sentis, après le coup de rein final, son ventre contre mes fesses et ses bourses contre ma fente. Il me l'avait mise en entier
vingt trois centimètres
. Il ressortit lentement, re-rentra, ressortit, re-rentra, ressortit, re-rentra plus vite, ressortit, re-rentra plus loin encore me sembla-t-il. Thierry m'avait remis son pénis dans la bouche.
Lorsque le membre commença à mieux aller et venir, signe évident d'une dilatation idoine, Jacky m'attira vers l'arrière puis me fit basculer sur lui. Et là je me sentis vraiment empalée, ouverte en deux
. ment, m'enfonçant de tout mon poids autour de ce pivot de chair, il ne pouvait en être autrement. Doucement, il m'amena le dos contre son torse, faisant un peu, un tout petit peu ressortir sa verge. Il me demanda de relever les jambes et de les écarter. Il plaça les mains à la pliure de mes genoux pour maintenir à la fois l'écartement et l'accès. La position volontairement impudique qu'il me fit prendre était une invite que Thierry déchiffra immédiatement. Sexe en main il s'approcha plein de lubricité. Il posa son membre contre ma vulve déjà utilisée auparavant et s'y engouffra, venant se loger contre celle de mon suborneur arrière. La merveilleuse sensation que j'avais ressentie la première fois recommença pour mon plus grand bonheur, sauf que cette fois, j'avais le conduit anal beaucoup plus distendu. Ce n'était pas pour me déplaire
et une fraction de seconde, je me surpris à songer que j'aurais bien aimé que Thierry fut mieux membré pour que je sois bien pleine des deux cotés. Ils se mirent en action
. Jacky m'avait agrippé rudement par les seins et je me contorsionnais un peu de façon à ce qu'il puisse prendre ma bouche tout à loisir. Et il ne s'en priva pas
. Un mollet sur l'épaule de mon mari, je jouis une première fois sous la double pénétration imposée. Imposée et désirée
. Je jouis une deuxième fois quand Thierry fusa dans mon intimité et une troisième quand Jacky me fit éprouve une jouissance anale d'une intensité, je le pense franchement, rarement atteinte, sans soute à cause de la taille
. J'en eus presque encore un quand je sentis mon boyau se remplir du sperme de mon amant postérieur. En sueur, il me garda sur lui le temps que son dard se rétracte pour pouvoir évacuer l'endroit (ou l'envers) sans
coup férir. Tout doucement, comme à regret, il repoussa mon bassin pour s'extraire. Je prend bien conscience de ce qui m'était arrivé à cause de ce vide
qui me parut insondable. J'eus l'intuition (et aussi la ferme envie) que bientôt j'allais sentir de nouveau cette fabuleuse introduction.
Un peu fourbus tous les trois, nous prîmes congé de notre hôte après baisers et remerciements divers et aussi la promesse d'organiser bientôt une nouvelle soirée. Thierry en était enchanté et encore plus de voir que mon acceptation avait été immédiate. Il rayonnait !
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